L’aviation au début du XXe siècle était marquée par des exploits audacieux et des défis techniques.
Le 29 décembre 1910, des aviateurs intrépides se sont affrontés dans des concours prestigieux, bravant des conditions météorologiques difficiles.
Cet événement historique témoigne de la détermination et de l’innovation qui ont façonné l’aviation moderne.
Les concours aéronautiques de 1910 : une compétition acharnée sous un ciel capricieux
En 1910, les aviateurs se lancent dans une série de compétitions prestigieuses, telles que le Prix du baron de Forest, le Prix Lazare Weiller, la Coupe Michelin, la Coupe de la passagère et le Grand Prix de l’Automobile-Club de France.
Parmi eux, Leblanc se distingue en réalisant un vol impressionnant de 105,600 km avec Jane Herveu lors du Prix de la passagère.

Cependant, les conditions météorologiques difficiles, notamment le brouillard, compliquent la tâche des autres participants.
Des pilotes comme Lanser, Tabuteau et Farman voient leurs tentatives échouer, tandis que d’autres subissent des accidents en raison du vent et du brouillard.
Défis météorologiques pour les aviateurs de 1910
En 1910, les aviateurs font face à des défis météorologiques considérables, notamment le brouillard et le vent, qui perturbent leurs performances.
Le pilote belge Lanser, accompagné de M. Panier, échoue à relier Paris à Bruxelles lors du Grand Prix de l’Automobile-Club de France, victime de ces conditions défavorables.

De même, Tabuteau et Farman ne parviennent pas à battre le record de distance de la Coupe Michelin.
Les conditions météorologiques entraînent également des accidents pour Loraine, Byasson et Delage, soulignant les risques accrus pour les aviateurs de l’époque.




